Description
Ses bienfaits sur le plan psychique
Le jaspe sang de dragon fortifie l’ancrage lié à l’énergie de la Terre. Cette pierre aide à s’ancrer dans le présent et à profiter du moment. Elle réduit les pensées négatives liées au passé et encourage les pensées positives tournées vers le futur.
Ce jaspe sang de dragon permet de se libérer des traumatismes et des blocages de l’enfance et donne la force d’aller de l’avant. Il renforce même la connexion à la nature qui procure apaisement et sérénité. Il engendre le calme nécessaire aux personnes hyperactives, se montre revigorant et énergisant envers les personnes abattues.
Cette pierre verte et rouge aide à atteindre ses objectifs. Elle apporte force, volonté et détermination. Elle donne le courage d’affronter les difficultés de la vie, de s’adapter aux circonstances et d’avancer avec joie et optimisme. Elle revitalise un mental épuisé.
Le jaspe sang de dragon redonne confiance en soi, l’estime de soi et de l’assurance. Il permet de surmonter la timidité. C’est une excellente pierre qui favorise le développement personnel et développe la clairvoyance. Elle est stimulante et dynamique. Elle est propice aux changements de vie.
Ce jaspe aide à prendre la responsabilité de ses actes et à assumer ses erreurs. Il aide son porteur à se voir tel qu’il est et à s’accepter. Ainsi, il va lui permettre de développer son charisme et son leadership.
Ses bienfaits sur le plan physique
Le jaspe sang de dragon est réputé pour favoriser une bonne circulation des fluides corporels.
C’est une pierre dynamisante qui redonne de la vitalité à son porteur. Celui-ci va reprendre une activité sportive qui lui permettra de se sentir mieux dans son corps, d’éliminer les tensions et le stress.
On dit que placer un jaspe sang de dragon dans une chambre procure un sommeil réparateur et de qualité. Ainsi, il aide à avoir une bonne récupération de l’ensemble du corps.
Cette pierre stimulante permet d’éloigner les états de tristesse intense, procure de l’optimisme et la force de faire des projets.
